L'Algérie un pays riche en nature, culture et patriotisme

Oran, capitale culturelle 19 Avril 2010 Une manifestation abritant plusieurs expositions portant sur différents aspects du patrimoine algérien sous le thème «Talents d’Algérie» se tient depuis hier à Oran et se poursuivra jusqu’au 24 du mois en cours. Cette manifestation se veut le prolongement culturel de la 16e conférence mondiale du gaz naturel liquéfié qui se tient dans la capitale de l’Ouest du 19 au 24 avril. «Cet événement culturel marquera sans aucun doute un nouveau départ pour El Bahia dont les sites et les richesses tant naturelles qu’humaines la vouent à un avenir brillant. Avec le Tram urbain, la construction du Centre des conventions et des divers ouvrages qui l’accompagnent, Oran se prépare à son nouveau rôle de pôle régional» a indiqué la ministre de la culture Khalida Toumi dans un communiqué. « La région d’Oran, poursuit Khalida Toumi a connu un passé brillant qui remonte à la préhistoire en passant par les périodes punique, romaine, byzantine et, plus...

L a maison de la Culture Omar Oussedik de Jijel a tracé un riche programme aux enfants à l’occasion des vacances scolaires d’hiver qui s’étalera du 21 décembre jusqu’au 4 janvier de l’année prochaine. Durant toute cette période, mis à part les vendredis, il est programmé chaque jour une représentation théâtrale durant la matinée à partir de 10 heures alors que les après-midis seront consacrés à différentes activités de jeu, dessin, l’initiation à la musique, travaux manuels pour la réalisation de poupées et la projection de deux fils documentaires dont l’un concerne le premier président du GPRA, Ferhat Abbas. La partie théâtrale comptera pas moins de 13 représentations. L’association El Manar de Jijel a présenté hier  Le village oublié , alors que les jours suivants les chérubins auront à apprécier  Les secrets de l’île  de l’association El Besma de Skikda (mardi),  La ville de Nadhfane , en référence à la propreté dans nos cités, de l’association Chihab d’Anna...

La Kabylie entre culture et tradition : Organisation sociale, mode de consommation et fait de civilisation La Kabylie : Organisation sociale, mode de consommation et fait de civilisation Les Kabyles désignent leur territoire par l'ancien terme berbère Thamourth (la terre, la terre natale, la patrie, le pays). Leurs habitations, construites en dur, couvertes d'un toit de tuiles et généralement sans étage, sont groupées en villages qui tournent le dos à l'extérieur et ouvrent sur des sentiers étroits La société kabyle s'organise en cercles concentriques de fidélité. Son noyau est la famille étendue Akham, qui est la plus petite cellule sociale. Elle ne se réduit pas seulement au groupe des époux et de leurs descendants directs, mais rassemble tous les agnats (parents descendants de la même souche masculine), de sorte que plusieurs générations sont réunies sous l'autorité d'un seul chef. L'unité d'habitat (les maisons des descendants d'u...

       Palais de la culture de Tlemcen  Le Palais de la Culture de Tlemcen - Imama est un bâtiment culturel, luxueux et fleuri. Il est considéré comme un chef-d'œuvre d'art architectural des pays arabo-musulmans. Il se situe à proximité des sites et monuments historiques de Mansourah. Son emplacement demeure adjacent au Centre d'études Andalouses où "l’Alhambra" lui accorde un bel éclat à la ville d’Art et d'Histoire, comme lui en a rappelé l’écrivain Français George Marçais. Le palais se trouve implanté sur une superficie totale de 15.000 m², relié directement avec le boulevard principal qui mène à la cité d’Imama, dans la commune de Mansourah. C’était par un geste de grandes louanges à Dieu que le palais aurait pris le nom toponymique d’«Abdel Krim Dali" (1914 - 1978), une figure symbolique réellement marquante de l’histoire dans le domaine de l'art andalou, notamment le rythme El-hawzi Il a été inauguré le 11 Avril 2011, date...

        Tapis Guergour (sétif) Le massif du Guergour trouve sa place dans une masse rocheuse de grés rose entre la ville de Sétif et la mer méditerranée. Les artisans de cette région charmante ont su utiliser la rudesse du climat pour en adoucir les contours par l'entremise de ces tissages qui sont investis d'une force montagnarde opposée à une beauté gracieuse héritée de lointaines contrées orientales. Mais par une sorte de sort étrange. la fabrication du tapis de haute laine semble avoir déserté cette région. Le tapis dit "Guergour" possède une grande analogie avec le style d'Anatolie. attache inattendue pour un tissage qui se trouve au sein de la petite Kabylie à consonance berbérophone. Le lien avec la Turquie est cependant évident par les compositions classiques. les "reggams" (tisserands), ont ajouté des formes nécessitées par les dimensions majestueuses (de sept à huit mètres de longueur) en gardant le même souci pour une décoratio...

    Oum EL Boughi:le tourisme à l'abandom? L’étymologie du mot « Macomades », ancien nom de la ville d’Oum El Bouagui . Trois villes de l’Afrique ancienne ont porté le nom de Macomades : ( Macomades Minores ) dans la Byzacène (Tunisie actuelle) , Macomades Maiores en Tripolitaine (près de Syrte, Libye) , et enfin Macomades ( Oum el Bouagui d’aujourd’hui) en Numidie . Les historiens les ont orthographié sous plusieurs formes : Macomades , Makomades , Macodama (Ptolémée), Maccomadas , Macomadibus, Macomada,Makomada ou encore Macomadia Rusticiana . S’il existe une certaine confusion entre ses villes, les historiens sont pourtant d’accord pour voir dans la Macomada numide(Oum EL Bouaghi) (sur la voie de Cirta à Theveste) la ville épiscopale citée par les conciles de Carthage de 411 et de 484 et son évêque Aurelius de Macomades : ( MACOMADA, ou MACOMADIA , selon l’itinéraire d’Antonin. La Conférence de Carthage en fait une ville épiscopale de la ...